"Les attaques de ceux qui nous accusent contradictoirement d’être trop mous ou trop durs nous confortent dans notre conviction que notre collectif Réconcilier Grenoble autour d’Alain Carignon, dans son pragmatisme, sa représentativité de la diversité de Grenoble et sa cohésion est bien la seule alternative forte et crédible à la continuation du système Piolle", explique encore l’avocat grenoblois dans son communiqué.
Et de pointer notamment le candidat RN qui "gèlerait un électorat dans un vote national, garantie de survie de la politique d'Eric Piolle car il favorise l’élection de Laurence Ruffin".
Pour Réconcilier Grenoble, Valentin Gabriac et Allan Brunon n’apportent aucune solution financière dans une ville asphyxiée par l’impôt, la dette et les dépenses de fonctionnement. Ils "espèrent tromper les Grenoblois par des votes nationaux ou d’appartenance", poursuit Thierry Aldeguer.
Thierry Aldeguer, qui rappelle que la liste d’Alain Carignon fait la course largement en tête dans l’opposition dans les sondages, appelle surtout "les Grenoblois à se prononcer dès le premier tour pour la seule équipe qui
affrontera Laurence Ruffin au second tour et est à même de l'emporter, afin de lui donne toutes les chances de changer l’avenir de Grenoble".
A la veille de la trêve des confiseurs, la division à gauche avec un PS plus que mitigé sur la candidature Ruffin, une liste LFI autonome et la réitération d’un leadership dans l’opposition sont les deux marqueurs sur la base desquels le sprint final va s’engager en janvier prochain.