En l'espace de quelques semaines à l'automne 2022, il avait imposé des fellations et des pénétrations digitales à sa nouvelle compagne, une habitante du Rhône.
Il y a quelques jours, la cour criminelle de l'Isère a jugé ce quadragénaire qui a fini par reconnaître les faits après les avoir niés durant l'enquête, expliquant se droguer et s'alcooliser depuis le décès de son père.
L'accusé a écopé de 6 ans de prison. Mais ce procès a permis de libérer la parole d'anciennes compagnes, dont une l'accuse également de viol en 2021. Une autre procédure est donc en cours et pourrait le conduire rapidement à nouveau devant les juges grenoblois.