La faute à des cas de chikungunya, qui entraînent régulièrement des opérations nocturnes de démoustication.
Dernier foyer de contamination en date : Varces-Allières-et-Risset. La mairie annonce que l'ARS a détecté un deuxième cas autochtone de chikungunya. Ce dernier se trouvait "dans un secteur différent" du premier patient découvert ces derniers jours.
Une enquête entomologique est donc organisée sur la commune iséroise ce mercredi. Cette enquête a pour objectif d’identifier la présence ou non du moustique tigre et estimer le risque vectoriel. Si aucun moustique tigre n’est trouvé, l’enquête sera déclarée négative. Mais si des moustiques sont observés, l’enquête est alors positive et nécessitera très probablement un traitement à base d’insecticide pour éliminer les populations de moustiques tigre adultes qui auraient pu être contaminés et pourraient transmettre le virus aux résidents.
Pour rappel, Eybens est le foyer de contamination au chikungunya le plus important de la région, avec 35 cas autochtones recensés, c'est à dire 35 personnes contaminées directement sur place, et non pas revenues de l'étranger avec le chikungunya. Tous les différents foyers recensés sont toujours actifs, sauf celui de Claix qui a été vaincu.
en attendant le paludisme transmis aussi par les moustiques , nous retournons au Moyen Age grâce à l’écologie !
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