Lundi matin, la préfecture de l'Isère a ordonné sa destruction. Plusieurs dizaines de policiers ont évacué 25 occupants, essentiellement de nationalités serbe et macédonienne, dont 17 ont été mis à l'abri par les services de l'Etat. Les autres devront retourner dans leur pays.
Ce que regrette la Ville de Grenoble, qui a fait savoir dans le Dauphiné Libéré qu'elle "doute" de l'efficacité du dispositif de préparation au retour dans leur pays s'il n'y a pas "d'adhésion" des individus concernés.
Il est humain de vouloir vivre dans un pays qui a des frontières respectées. Il faut avoir à cœur de comprendre ses concitoyens qui sont dépassés par l' immigration illégale.
Signaler RépondreVous n'avez pas de cœur, vous n'êtes pas humaniste, peut-être même que vous êtes un flic et moi, je scande comme avec mes camarades de LFI : "un flic mort, c'est un vote RN en moins." Ha, ha, ha, ha ! Bon, on a bien le droit de rigoler.
Signaler Répondre" la Ville de Grenoble, qui a fait savoir dans le Dauphiné Libéré qu'elle "doute" de l'efficacité du dispositif de préparation au retour dans leur pays s'il n'y a pas "d'adhésion" des individus concernés. "
Signaler Répondre.
Si ces personnes sont en situation irrégulière il n' y a pas à leur demander leur avis : expulsion.