Le 12 février 2024, ce chauffeur de car discutait avec l'une de ses jeunes passagères, une collégienne qui se plaignait de ses problèmes rencontrés avec ses camarades de classe.
Le sexagénaire lui avait alors proposé de rester avec lui jusqu'au terminus à Corenc, pour pouvoir évoquer plus tranquillement ses malheurs.
Bouleversé par son récit, il lui avait ensuite saisi le visage et l'avait embrassée sur la bouche.
Selon le Dauphiné Libéré, le sexagénaire a expliqué aux juges que cette action avait été entreprise pour donner un peu d'affection et du courage à la collégienne. Mais aussi qu'il avait immédiatement compris que ce geste n'avait pas du tout été interprété de la même manière par la principale concernée.
Une agression sexuelle pour laquelle l'homme, qui avait été licencié après les faits, a écopé d'un an de prison avec sursis et l'interdiction d'exercer une activité en lien avec des mineurs.